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 			 				 						Communiqués L'impact de Solvabilité II sur la gestion informatique des opérations de réassuranceHUGIN | 27/06/2011 | 09:48 
 
 
 Julien VICTOR, Directeur Associé d'EFFISOFT, explique comment la nouvelle
 réglementation européenne oblige les sociétés d'assurance à revoir leurs
 programmes et stratégies de réassurance. Il démontre surtout que Solvabilité II
 suppose un nécessaire et rapide perfectionnement des outils de gestion pour
 satisfaire les exigences accrues en matière de traçabilité et de sécurité des
 informations.
 
 De telles considérations ne s'appliquent pas qu'aux leaders du marché : compte
 tenu des objectifs de renforcement et d'uniformisation de la gouvernance au
 niveau européen, ces changements concernent bien tous les acteurs de l'assurance
 et ce, indépendamment de leur taille ou de leurs statuts (compagnies, mutuelles,
 institutions de prévoyance, réassureurs).
 
 La prise en compte de la réassurance est au cur de Solvabilité II. En effet, la
 réassurance est un outil structurant dans la définition des exigences de
 capital. Il apparaît rapidement qu'une gestion manuelle ou semi-automatisée
 posera problème dès 2012. ou en tout cas ne pourra être suffisante pour
 garantir la conformité aux nouvelles exigences !
 
 Les effets sur les politiques de réassurance :
 
 Selon l'APREF (Association des Professionnels de la Réassurance en France), les
 besoins en capital induisent une nécessaire augmentation des transferts de
 risque, ne serait-ce que pour la couverture des événements naturels dont le coût
 est de plus en plus significatif (cf. les récentes catastrophes au Japon). Le
 marché devra donc trouver d'importantes capacités supplémentaires, en RC et en
 construction notamment.
 
 L'identification de ces besoins en capital, l'arbitrage entre placement en
 réassurance et rétention, la gestion toujours plus fine des relations avec les
 réassureurs (identification de leur notation par exemple) sont autant
 d'opérations qui nécessitent un outil centralisé, capable de gérer toutes les
 formes de réassurance et les différentes partitions de risques avec les options
 de traçabilité requises. Dans la mesure où plus de 50% des assureurs gèrent
 encore leur réassurance de manière manuelle ou éclatée sur plusieurs systèmes
 d'information, cet enjeu va vite se transformer en challenge.
 
 Par ailleurs, qu'en est-il de l'effet concret de la réforme à travers chacun de
 ses 3 piliers ? Et quels sont les indices qui permettent d'affirmer qu'un
 logiciel de gestion de la réassurance centralisé, exhaustif et sécurisé
 s'imposera nécessairement pour le respect des nouvelles exigences ?
 
 Un impact direct sur le rendement du capital :
 
 Au niveau du pilier 1 par exemple, la réforme devrait mettre davantage en valeur
 l'impact des stratégies de réassurance sur l'exigence de capital cible (SCR).
 Aussi, les cédantes pourront obtenir un meilleur rendement sur capital en
 faisant uniquement évoluer leur programme de réassurance.
 
 Un outil de suivi sera alors indispensable pour mesurer l'efficacité des
 programmes de réassurance et étudier les différentes alternatives, tester les
 opportunités de montages proposées par les réassureurs ou les courtiers de
 réassurance. et ainsi justifier la prise de décision.
 
 Le calcul du SCR et le risque de contrepartie :
 
 Toujours dans le cadre du pilier 1, les besoins en capitaux résultent d'une
 combinaison de risques (souscription bien sûr, mais aussi opérationnels, de
 marché, de contrepartie.). Ces différents risques sont à mesurer finement pour
 le calcul du capital requis global.
 
 L'intégration du programme de réassurance dans le calcul du SCR n'est pas aisée
 car les outils de gestion concernés sont trop souvent épars. Dans beaucoup de
 sociétés d'assurance, les quotes-parts sont ainsi encore gérées au niveau de la
 comptabilité générale tandis que les excédents de sinistres relèvent d'un
 système dédié et les excédents de plein du système de gestion des polices ou de
 la production. Le manque d'un outil centralisé se fait alors ressentir, surtout
 dès qu'une phase de simulation de la résistance d'un  programme de réassurance,
 ou qu'un suivi des tiers réassureurs, s'avère nécessaire.
 
 Un exemple de difficulté réside dans le risque de catastrophe qui implique un
 calcul spécifique du SCR (besoin de fonds propres) et génère potentiellement de
 nouveaux besoins en termes de réassurance, les effets de celle-ci permettant de
 réduire le montant requis.
 
 Notons également que le SCR pourra varier en fonction de 2 critères : la
 notation et la diversification des réassureurs. Le choix des cessionnaires doit
 de ce fait se justifier en connaissance de cause : quel tarif doit par exemple
 appliquer un réassureur noté CCC- sachant que sa notation a pour effet
 d'augmenter le SCR par rapport à un réassureur AA+ ?
 
 Le risque de contrepartie (aussi appelé risque de signature et par abus de
 langage risque de crédit) doit systématiquement être apprécié. Ce risque
 représente la perte potentielle réalisée par la cédante dans l'hypothèse d'une
 défaillance future du réassureur. Il convient de l'examiner dans sa globalité
 auprès de tous les réassureurs sollicités.
 
 En effet, pour la cédante, le risque sur chaque réassureur a trois composantes :
 
 Tout d'abord le risque de défaut moyen : il est directement pris en compte au
 niveau du bilan prudentiel, en réduisant la perte moyenne attendue du montant
 des provisions mathématiques cédées (réduction équivalente des fonds propres).
 
 Deuxièmement, la déformation du risque de défaut du réassureur, qui est
 d'ailleurs souvent assimilée au risque de spread.
 
 Enfin, le coût complémentaire en fonds propres. Ce phénomène est lié à
 l'augmentation implicite du SCR de l'assureur en cas de défaillance du
 réassureur. Les cédantes ont dès lors l'obligation de pouvoir présenter, à tout
 instant, leur exposition par Line of Business (LOB) et par réassureur
 (provisions cédées et collatéral). L'objectif de cette exigence est de permettre
 l'établissement d'un bilan prudentiel et d'un calcul conforme du SCR. Il s'agit
 d'une réelle problématique sur le marché, les compagnies ne parvenant pas
 toujours à suivre l'évolution quasi-annuelle des quotes-parts sur leurs
 programmes les plus importants.
 
 Plusieurs critères sont à prendre en compte dans la gestion du risque de
 contrepartie, comme la relation avec le réassureur (retard de paiement, etc.),
 sa situation financière, son rating (par une agence de notation agréée type S&P
 mais aussi en interne) mais également l'antériorité de la relation entre les 2
 parties. Certains risques (et sinistres) s'étendent en effet sur le long terme
 (exemple : amiante). C'est d'ailleurs l'un des principaux enjeux dans la
 structuration d'un nouveau système d'information de réassurance car la prise en
 compte du passé s'avère fondamentale.
 
 La réassurance interne :
 
 Autre problématique qui apparaît avec le pilier 1 de la réforme européenne : la
 réassurance au sein des groupes.
 
 Elle soulève de nombreuses interrogations comme le niveau de capital minimum à
 conserver dans chaque filiale ou la garantie des transferts de capitaux entre la
 maison mère et ses filiales ou entre les filiales elles-mêmes.
 
 Des éléments de réponse sont à chercher dans la réassurance interne. Cette
 pratique va devoir se formaliser avec la nouvelle réforme, notamment au niveau
 juridique. Le réassureur groupe est en effet vu au regard de la réglementation
 comme un réassureur externe.
 
 Au-delà de l'aspect juridique, ces opérations devront désormais être
 représentées concrètement dans le système d'information car ce ne sont pas de
 simples flux de cession / acceptation. Une distinction sera ainsi
 potentiellement opérée entre les écritures comptables cession "externes" et
 cession "au réassureur interne du Groupe" (cf. états du QTR).
 
 Ainsi, le pilier 1 recèle donc à lui seul d'importants chantiers pour les
 professionnels de la réassurance : les systèmes d'information doivent donc
 suivre au plus près ces évolutions.
 
 Le Pilier 2 et l'ORSA :
 
 Mais les 2 autres piliers ne sont pas en reste et les experts se sont rendu
 compte qu'avec Solvabilité II, la réassurance va progressivement devenir un
 outil de pilotage stratégique susceptible de dégager d'importantes capacités
 d'investissement.
 
 Cette considération renvoie à l'ORSA (Own Risk and Solvency Assessment),
 processus qui fait converger les piliers 1 et 2. Car même si la maitrise des
 risques demeure la finalité de la réassurance sous Solvabilité I et sous
 Solvabilité II, force est de constater que les choix pris en matière de cessions
 participeront pleinement aux réflexions des organismes d'assurance pour leur
 mise en conformité.
 
 Dans le cadre de l'ORSA, l'appétence des cédantes pour le risque et leurs
 besoins en capitaux seront en effet étroitement liés aux politiques de
 réassurance et donc aux efforts déployés pour optimiser les programmes. Ceci
 suppose là encore une gestion informatique efficace. A l'inverse, un  suivi
 défaillant des opérations de réassurance peut être considéré comme un risque
 opérationnel en tant que tel, au même titre que le risque Système d'Information
 !
 
 Le Pilier 3 :
 
 Même si la liste définitive des états QRT n'est pas encore connue, il est
 quasiment acquis que plusieurs nouveaux états seront à produire au niveau de la
 réassurance (à minium 3) contre 2 états réclamés sous Solvabilité I (les C8 et
 C9).
 
 Les nouveaux états identifiés sont les J3 (Facultative risks non-life), J4
 (Share reinsurers) et J5 (Outgoing Reinsurance Program).
 
 Bien que l'intérêt pour un outil en mesure de produire ces états automatiquement
 ne soit pas négligeable, il faut reconnaître que les attentes des utilisateurs
 vont bien au-delà. Ce sont en effet les bénéfices d'une gestion globale,
 structurée et automatisée qui va pousser les professionnels de la réassurance à
 s'équiper en logiciels dédiés dans les mois à venir.
 
 Un système d'information réassurance complet s'avère désormais primordial avec
 Solvabilité II. A l'heure actuelle, cet élément n'est pas suffisamment mis en
 avant sur le marché alors qu'il ne faut surtout pas le négliger dans la
 préparation à la réforme et ce, quelle que soit le type de société (compagnie,
 mutuelle, institution de prévoyance, réassureur).
 
 A propos d'EFFISOFT :
 
 EFFISOFT est un groupe international qui conçoit des logiciels pour les
 professionnels de l'assurance, de la réassurance et de la gestion des risques
 depuis 20 ans. EFFISOFT touche une clientèle de plus de 200 sociétés à travers
 le monde grâce à ses différentes implantations géographiques (Paris, Londres,
 Boston et Singapour).
 
 EFFISOFT compte parmi ses clients un assureur sur 2, plusieurs réassureurs et
 les acteurs majeurs du CAC40/SBF 120, du FTSE ou du NYSE. www.effisoft.com
 
 
 
 
 Copyright Thomson Reuters
 
 
 Ce communiqué de presse est diffusé par Thomson Reuters. L'émetteur est seul responsable du c
 ontenu de ce communiqué.
 
 
 
 [HUG#1526163]
 
 | |  |    | Indicateur | Valeur | Force |  |  |  |    | Consensus | Neutre |  |  |  |  |    | Risque | 0 |  |  |  |  |    | Volatilité | 0 |  |  |  |  |    | Volume Moy. | nc |  |  |  |  | 
 |  |    | Ratios | 2009 | 2010 | 2011 |  |  |    | BNA | nc | nc | nc |  |  |    | Var. BNA | nc | nc | nc |  |  |    | PER | nc | nc | nc |  |  |    | Rendement | nc | nc | nc |  |  | 
 |  |    | Annuel | Cours | % |  |  |    | Plus haut | nc | nc |  |  |    | Plus bas | nc | nc |  |  | 
 |  |    | Mensuel | Cours | % |  |  |    | Plus haut | nc | nc |  |  |    | Plus bas | nc | nc |  |  | 
 |  |    | Capital | V | % |  |  |    | Echangé | nc | nc |  |  |    | Valorisation | nc | - |  |  | 
		
				
		 |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |   
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